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La terre, le ciel & nous

10
~
j'ai retrouvé ton existence.

{ La réconciliation du féminin et du masculin }

Il a pris cette photo de moi en juillet 2020,
à l’endroit où nous nous sommes retrouvés…
le 11 décembre dernier.

L’élégance du regard qu’il pose sur moi
me touche au plus haut point.

Sans me montrer,
il laisse tout voir de moi.

Message reçu de la part de Christian
Le 23 février 2020

L'AMOUR CO-CRÉATEUR
~

J’avais 24 ans. Il en avait 29.
Son visage m’a scotchée.
Je lui ai dit « Viens, on se rejoint sur le quai ».


Mon train partait à 11h24 de Paris Montparnasse vers Hendaye. J’allais rejoindre une amie d’enfance à Pampelune, pour changer d’air après une rupture décapante. Lui aussi était à vif.

« Une Rencontre, c’est le croisement de deux failles » ai-je lu ensuite quelque part. Quel croisement alors. J’ai eu deux coups de foudre dans ma vie, il a été le premier.

Tout était Beau en lui.
Une forme de pureté que je percevais d’emblée,
mais que lui s’évertuait à cacher.

Notre histoire n’a pas duré.
Mais le lien a perduré.

Très rapidement, il a décelé mon potentiel artistique et s’est positionné comme un mentor auprès de moi. Même si son métier était à l’opposé, il était passionné d’art, de photo, de musique… D’ailleurs, nos conversations tournaient le plus souvent autour de ça.

J’ai toujours été fascinée par sa sensibilité qu’il portait très fort en lui mais qu’il n’assumait pas. Ce que je voyais en lui, j’aurais aimé l’avoir en moi. Ce qu’il voyait en moi, il aurait aimé l’avoir en lui. Ça le rendait d’autant plus touchant… et agaçant. Insaisissable.

Un jour, après un déjeuner ensemble, il m’a emmenée dans un magasin d’arts graphiques situé dans la rue où j’habite aujourd’hui. 15 ans avant, donc… Il voulait m’acheter du matériel de peinture, des pinceaux, des toiles et un chevalet.


Je n’avais rien demandé.
Mais il touchait en plein dans le mille.


Il m’encourageait à m’exprimer par ce biais, à lui peindre des tableaux, me disant qu’il croyait en moi, qu’un jour mon art vaudrait de l’or et qu’il serait fier d’y avoir contribué.

Et donc en 2005, la première toile que je lui ai peinte, d’1m50 de haut sur 50 cm de large, s’intitulait « La vie est un songe » et était inspirée de la pièce de théâtre espagnole du même nom, écrite par Pedro Calderon de la Barca, que j’avais adoré quand j’étais au lycée.


“Qu’est-ce que la vie ?
Une folie.
Qu’est-ce que la vie ?
Une ombre, une illusion, une fiction,
et le bien suprême n’a que peu de valeur,
car la vie toute entière est un songe.”

Quand il a découvert ma peinture, il s’est effondré en larmes, alors qu’on se connaissait seulement depuis quelques semaines. Il se voyait en miroir à travers. Je crois que personne n’avait jamais vu « ça » de lui.

Cette année-là,
j’ai fait ma première exposition de peintures,
autour de cette phrase de Lewis Carroll,
dans Alice au Pays des Merveilles :


« Mais alors, dit Alice,
si le monde n’a absolument aucun sens,
qui nous empêche d’en inventer un ? »

Après mon projet de fin d’études, j’ai donc commencé à matérialiser ma vision du monde par le biais de la peinture. Qui s’est ensuite diffusée à travers le maquillage, la vidéo, la photo, l’écriture, puis les multiples supports que j’ai créés et offerts au monde :

Mon blog, mes vidéos, mes livres,
mon film, ma conférence TEDx,
mes podcasts…

J’AI TOUJOURS RELIÉ NOTRE RENCONTRE
À LA POSSIBILITÉ D’EXPRIMER
QUI JE SUIS À TRAVERS LA CRÉATION.

ET J’AI TOUJOURS EU
BEAUCOUP DE RECONNAISSANCE
À SON EGARD POUR CELA.

Chemin faisant, il a continué à avoir cet œil sur moi et c’était la raison pour laquelle que je n’arrivais pas à le sortir de moi. Il infiltrait mes pensées, mon cœur, mon art, mais pour une raison qui est longtemps restée en suspens, on n’arrivait pas à « s’emboîter ».


On croise beaucoup de gens dans notre vie
qui sont beaux et intéressants.

Mais très peu finalement qui nous voient
pour qui nous sommes réellement…
et ce que nous sommes
appelés à déployer.

Il faisait partie de ces êtres-là.

Ne pas avoir pu construire quelque chose avec lui est toujours resté une énigme autant qu’une douleur, que j’ai mises de côté à un moment donné pour avancer sans avoir à me retourner.

Pendant 3 ans,
nous sommes restés reliés,
puis j’ai choisi Serge
pour créer la vie.

Ma fille est née, il est parti vivre à l’étranger. Je voyais son actualité défiler de temps à autre sur le web, et j’avais toujours le cœur qui se pinçait. Comme si je voyais la vie que je n’avais pas eue. Mais j’avais fait un choix et je l’assumais.

Et puis les souvenirs se sont anesthésiés. Parce que trop de choses à traverser, à penser et à panser. Les évènements explosifs qui s’en sont suivis n’ont fait que me confirmer que j’avais un p***** de karma à régler avec les hommes.

J’avais plus que tout besoin de paix, alors je ne voulais surtout pas m’aventurer à ré-ouvrir ce souvenir. Mais bon, nous le savons maintenant, l’espace-temps n’existe pas…

Nous sommes en septembre 2019. Ma maman me propose d’aller passer Noël et Nouvel An dans la ville où il habite… à 12 000 km. Étonnant ce choix. Je sais qu’il est parti vivre là-bas, mais nous ne sommes plus en contact depuis près de 10 ans, donc je ne fais pas de connexion particulière.

J’hésite plusieurs semaines à m’engager dans ce voyage, et à aucun moment il ne fait partie de mes considérations. Il est dans un arrière-plan très lointain. Finalement c’est un mois avant notre départ que je reprends contact avec lui… sur les encouragements de ma maman.

Sa réponse quelques minutes après me rend songeuse… Il n’habite plus là-bas. Il est de retour à Paris. Il vit dans le quartier où j’habitais quand on s’est rencontrés. Je vis dans la rue où on se retrouvait quand on se voyait.

Back to… ? On se dit qu’on serait heureux de se revoir.
« Juste » pour savoir ce qu’on devient.

NOUS NOUS RE-RENCONTRONS
LE 11 DÉCEMBRE 2019.

TROIS JOURS AVANT
MA DATE DE PÉREMPTION...

Sans imaginer un seul instant que ma vie va basculer.
Lui, il me le dira plus tard, l’avait pressenti
dès que je l’avais recontacté.

Ce soir-là, tout ce qui était resté en suspens pendant 12 ans, vient se redéposer dans « l’espace entre » nous. L’accélérateur de particules s’enclenche.


Qui a orchestré ça ?
Qui tire les ficelles de quoi ?
Y a-t-il un ordre prédéfini dans nos destinées ?

On y est.

Pour la première fois depuis si longtemps, je découvre l’autre version de l’Histoire : la sienne. Pour la première fois depuis trop longtemps, j’arrive à lui expliquer pourquoi je lui en ai voulu de notre impossibilité à nous « emboîter ».

Parce que si ça avait marché entre nous, je n’aurais pas eu à vivre les épreuves de feu qui ont été les miennes. J’aurais voulu que ma vie soit plus douce et plus facile. Mais l’initiation faisait partie intégrante du chemin, et je comprends alors que rien n’aurait pu la détourner, ni la précipiter.

Quand l’élève est prêt…
le maître apparaît.

Pour la première fois aussi, ma vulnérabilité ne me submerge plus. Elle me permet d’être beaucoup plus dans l’écoute, l’accueil et l’ouverture à ce qui est. De le voir réellement, d’apprécier son évolution, sans projection. Juste la joie de s’être retrouvés.

Dans les semaines qui suivent, nous nous mettons à jour de nos 12 années de silence. Je crois que ce qui le touche le plus, c’est de constater que ce qu’il était le seul à voir il y a 15 ans, est resté le cœur de mon réacteur et est devenu le cœur de ma vie, de mon entreprise.

Je crois que ce qui me touche le plus, c’est qu’il ait cru dès le début en ce que je suis devenue. Il a contribué à la genèse et finalement très peu de gens savent qui j’étais vraiment quand je n’avais rien, juste des pinceaux pour m’exprimer.


Son regard sur moi me bouleverse tout autant,
si ce n’est bien plus qu’avant.
Car j’en mesure toute la valeur
désormais.

IL SAVAIT. ON SAVAIT.
QU’AVANT CE N’ÉTAIT PAS
LE MOMENT.

PARCE QUE
ÇA DEVAIT COMMENCER…
MAINTENANT.

À trois jours de la bascule vers mes 39 ans, réapparaît donc celui dont le souvenir était relégué au fin fond de ma mémoire. La réalité finit toujours par avoir plus d’imagination que la fiction…

Et si je n’avais pas accepté ce voyage que ma maman m’a proposé « par hasard », aurions-nous eu un prétexte pour nous retrouver ? Je ne sais toujours pas dans quel ordre se décident les évènements. Mais une chose est sûre, s’ils ne sont pas écrits, ils sont bel et bien programmés.


Nous avons toujours notre libre arbitre

pour aller d’un point A à un point B.
Mais il y a des rendez-vous
à ne pas manquer.

La seule chose qu’on ne peut pas maîtriser, c’est là où ces rendez-vous nous emmènent… Mais ce qui compte, n’est-ce pas le chemin en lui-même, finalement ?

Je découvre à un tout autre niveau le pouvoir de la sérendipité et de la vulnérabilité, totalement reliées. Je n’ai plus rien à cacher, ni à prouver. Je suis simplement la plus claire possible sur ce que je ressens, sur là où j’en suis, sur ce dont j’ai peur, besoin et envie.

Je n’attends rien.
Je reçois tout.

Vivre cette place de femme en moi me fait constater à quel point cela lui permet de prendre sa place d’homme en lui. Et inversement. Notre complémentarité vibratoire est instantanée. Les polarités féminin-masculin de chacun s’apaisent et peuvent enfin s’emboîter.

JE SUIS PARCE QUE TU ES.
TU ES ALORS JE (TE) SUIS.

ÉQUATION SIMPLISSIME.
ET POURTANT. 15 ANS.

POUR DEVENIR QUOI
MAINTENANT ?

Quand je l’ai vu débarquer pour la première fois chez moi par surprise, le jour où je célébrais mes 39 ans avec tous mes proches, j’ai eu un choc. Que j’ai mis plusieurs semaines à accepter et intégrer.


L’étrange sensation que mon lieu l’attendait.
Nous attendait. 


Dans cette rue qui a été le théâtre de nombreux de nos rendez-vous d’antan. Je n’avais jamais fait le rapprochement entre notre histoire et mon adresse maintenant. Cette maison de création des futurs avait donc son alter ego masculin…

Et c’était lui.

En mécanique quantique,
l’intrication est un phénomène dans lequel deux particules forment un système lié, 
et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre… 
quelle que soit la distance qui les sépare.

Lui qui est resté planqué dans la matrice pendant tout ce temps. Lui pour qui j’ai hésité à changer de trajectoire il y a 12 ans, mais pour une raison qui n’a de sens que maintenant, rien n’avait pu se concrétiser.

Le futur, c’est le passé éclaté en morceaux à rassembler au présent… ai-je alors réalisé encore sur un autre plan. Comme un grand puzzle dispatché au départ, et tout le chemin c’est d’assembler un à un les morceaux de soi que chaque événement, chaque personne est censée nous « rapporter ».


All we have is now…
and maybe tomorrow ?
 
 

Le 20 février 2020, il m’accompagne à la huitième projection publique de mon film, Le Pas Sage, sorti début 2018 en même temps que ma conférence TEDx. Il sent important qu’il soit là, à mes côtés.

Je n’ai pas osé demander.
Il me devine sans que j’ai à parler.
Quel soulagement.

Depuis que cette projection a été calée, 9 mois avant, je pressentais qu’elle serait un tournant fondamental. La puissance de la date… et pour la première fois, une institution qui me rémunère pour venir présenter mon film OVNI. Une chamane corporate dans une CCI !

80 CHEFS D’ENTREPRISE
M’Y ATTENDENT
POUR VOIR L’INVISIBLE.

UN PAS DE GÉANT
À FRANCHIR.

ET LUI POUR VIVRE ÇA AVEC MOI.
UN PAS DE DEUX
À HONORER.

Pour la première fois alors, je vais partager ma bulle créative avec celui grâce à qui j’ai commencé à dérouler le fil il y a 15 ans. Il n’a pas encore vu mon film, ne me connaît pas dans mon univers entrepreneurial.

Nous arrivons tous les deux en terres inconnues.
À tous les niveaux.
On se connaît tant et si peu à la fois.

Nous savons que nous partons pour un voyage
qui marquera un aller simple sans retour
vers une nouvelle dimension. 

On saute dans le vide…
ensemble.

Et la confiance en l’Autre qui va avec…

Sa façon de prendre sa place tout en me permettant de prendre la mienne me subjugue. Son attention envers moi, envers les autres, envers chaque détail, et l’immense fierté dans son regard, décuplent mon énergie et me permettent d’être encore plus juste – donc plus puissante – dans ce que je transmets.


Il émet, je reçois.
J’émets, il renvoie.


En vivant la projection de mon film dans ses bras, je prends conscience de l’ampleur de ce que j’ai réalisé pendant toutes ces années, de ce moteur d’Amour qui m’a permis de me révéler, malgré toute l’adversité… et de nous retrouver.

ET LUI QUI ENVELOPPE LE TOUT.
MON TOUT.

Pour la première fois aussi, j’ai un public majoritairement masculin face à moi. Ils ne comprennent pas mon film. Mais ils se laissent traverser et transpercer comme jamais. L’un d’eux, gérant d’un garage automobile, me dit à la fin, bouleversé :


« Vous nous emmenez dans un espace
au fond de nous, on ne savait
même pas qu’il existait. »

Cette phrase résume à elle seule tout le pourquoi de ce film, qui a occupé huit ans de ma vie, dont deux dédiés à sa réalisation. Mais aussi tout le pourquoi et le pour quoi de mon entreprise, de mon art, de mes choix toujours périlleux… et toujours nécessaires.

Avec lui à mes côtés, j’ai ce soir-là la sensation de relier tout ce que j’ai été, tout ce que je suis et tout ce que je serai. Dans cet espace intemporel au fond de moi, tous les plans autour de moi se sont superposés pour finir par fusionner.


All in one.
All in two.


Encore plus maintenant, je peux respirer et inspirer. Donner et recevoir. Il n’y a plus de combat à mener. Il n’y a plus de danger. Et seulement maintenant, en l’écrivant, je comprends que « tout ça » attendait le moment opportun pour se déployer… et se diffuser.

LA RÉCONCILIATION DU FÉMININ
ET DU MASCULIN N’EST SELON MOI
PAS QU’UNE HISTOIRE AVEC SOI
ET AVEC L’AUTRE.

C’EST L’HISTOIRE DU MONDE.

Un enjeu de société majeur pour créer un monde où il fait mieux vivre, en sortant des rapports de pouvoir, de domination et de territoire, pour construire des foyers et des entreprises qui œuvrent pour le Beau et le Bien commun.

Tous ces mouvements féministes qui brandissent leurs droits au prétexte d’une vengeance envers le sexe dominant me rendent perplexe, parce que le premier combat à mener, il est d’abord avec nos propres démons et blessures du passé.

On ne construira rien de juste et durable si on cherche toujours à obtenir de l’Autre, des autres, ce qu’on ne se donne pas. De l’amour, de l’attention, de la validation…


Ça commence à l’intérieur de soi.
Personne ne nous l’apprend !
C’est pourtant la seule clé.

Mes épreuves m’ont obligée à reconsidérer tout mon rapport au masculin, pour retrouver mon féminin. Ma douceur d’être et ma force de vivre. En remettant ces polarités en équilibre dans ma vie, le reste a suivi.

Un mot après l’autre, un pas après l’autre.
On s’est emboîtés.

RIEN À CONQUÉRIR.
JUSTE À ACCUEILLIR.

Suis-je dans un rêve ?
Où (re)commence la réalité ?

Nos réalités extérieures
ne sont que le reflet
de nos rêves intérieurs.

L’histoire qu’on se raconte est l’énergie qui construit notre paradis, comme notre enfer. Ce que l’autre me renvoie est seulement une partie de moi à regarder, aimer et intégrer.

Le futur, selon moi, passera par notre capacité à renouer avec notre vulnérabilité, à la remettre au centre de nos vies, à ne jamais oublier que nous sommes d’abord des êtres venus vivre l’expérience de l’Amour. Quelle que soit sa forme.


Ce futur-là n’est finalement « que »
un retour vers Soi.

“THERE’S A PLAN
FOR EVERYONE
& A TIMING
FOR EVERYTHING…”

Au retour de la projection de mon film, tout ce qui s’est passé est tellement au-delà de l’imaginable que je lui dis « Je crois que je suis prête à écrire ce livre qui m’attend ». Il sourit. Il sait. Il permet. Sa présence me donne le courage de plonger dans ma vulnérabilité… donc dans mon art.

Alors, au fur et à mesure où j’écris ces lignes, je lui envoie. Il me lit et se relie. Je lui propose de choisir les musiques qui vont illustrer chaque chapitre.

Je sais déjà que chacun de ses choix sera d’une grande justesse et d’une folle beauté. Dans la lignée de ce que nous sommes l’un pour l’autre : un rêve dans la réalité. Et que de notre complémentarité, naîtra une nouvelle œuvre pour l’humanité.

Le destin a fini par nous retrouver.
À l’endroit où tout avait
commencé…

À notre rencontre.
À toutes ces vies qui nous relient.
À l’invisible qui nous lit.
Au visible à venir.
Merci.




Message reçu de sa part le 24 avril 2020,
au moment où je réalisais que ce livre
était en fait un voyage...
vers l’Amour.

~ Vos commentaires

2 réponses

  1. Tu as su parfaitement nous emmener dans ton passé dans lequel tu as déjà écrit le futur et nous faire vivre ton présent
    Tu as su décortiquer ton chemin pour nous le rendre audible
    Aujourd’hui dans le don de toi tu transmets
    Tu nous transmets le champ de tous les possibles
    L’impossible se déforme
    Le plausible devient réalité
    Tu t’es affranchi des limites
    Cette limite que nous seuls nous nous imposons
    Cette limite inaccessible… car illimitée
    Plus on se jette plus on va loin
    Plus on va loin plus on prend gout à aller loin
    Toute la matière était en toi
    Tout était déjà là
    Tu as su l’apprivoiser, l’entourer, la détourer, lui donner sa forme unique
    Tu as appris à savoir que tu savais
    Tu as su t’aimer et faire confiance en la vie
    Tu es là où tu dois être… en ton centre

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