J’ai pris cette photo sur les hauteurs
de Hollywood en juillet 2018.
Partie seule avec ma fille
sur ces terres de l’Ouest si chères à mon cœur,
c’est là que La terre, le ciel & nous
est officiellement née.
Séverine Perron est à ce moment-là la première d’une lignée
de clientes faisant appel à moi pour (re)connecter
la chamane en elle dans le monde des affaires.
Sa présence et sa parole me sont précieuses,
à un moment où mon mental n’est plus
en capacité de m’éclairer.
Ces messages qui semblent sortis de nulle part et partout en même temps, qui nous parviennent de façon providentielle, comme des petites lanternes déposées sur notre route pour éclairer la direction à prendre.
À peine visibles à l’œil nu,
parfois si peu perceptibles
pour une oreille constamment
saturée d’informations.
Et qui pourtant se reconnaissent
à l’évidence qu’elles déposent
dans notre coeur.
Quelques mots, une image, un événement, une rencontre, une main qui frôle notre dos pour subitement nous révéler un élément essentiel, à côté duquel ne pas passer. Ces synchronicités, quand elles débarquent, on sait rarement quoi en faire. Et pourtant.
Elles constituent autant de clés qui permettent de relier les points invisibles d’une trajectoire, de donner du sens au non-visible, à ce qui n’a pas de logique apparente et qui pourtant trace une ligne de cohérence folle avec nos choix parfois les plus risqués.
C’est ainsi que je reçois régulièrement des messages écrits de la part de personnes de mon entourage entrepreneurial, et parfois d’illustres inconnus, qui à première lecture paraissent assez dingues.
Et finalement,
en les prenant réellement en considération,
j’y décèle des informations importantes
qui me sont transmises.
Je comprends alors que ces personnes sont intermédiaires d’un plan plus vaste, et dépositaires d’une information dont j’ai besoin, que mon mental n’a pas besoin de décoder pour être intégrée.
J’ai toujours eu beaucoup de respect, d’écoute, d’attention pour ces synchronicités, ces rêves, ces non-hasards, comme des portes d’entrée détournées me permettant d’accéder à ce que ma tête ne comprend pas, mais ce que mon cœur sait être juste.
Et alors que mes certitudes commencent sérieusement à se fissurer depuis quelques semaines, je reçois ce sms de la part de Séverine, qui me parle de voyage à l’Ouest, de nourrir mes racines, de renaître, d’avoir une Voie à porter pour le monde.
Je ne sais pas d’où elle sort ces informations.
Mais elles résonnent plus que juste.
Et finalement une autre partie de moi sait d’où ça vient : cette cliente est la première, d’une longue série, femme entrepreneure qui me sollicite pour assumer et rendre visible au grand jour la chamane en elle dans son entreprise.
« Je veux le faire avec modernité et élégance,
et je sais que ça ne peut être qu’avec toi »
me dit-elle.
All right.
Je ne sais pas comment on fait ça,
moi.
Depuis quelques années, je sens très fort la dimension chamanique grandir en moi, mais de là à accompagner des clients vers ça, je ne sais pas faire.
Un chamane est une personne ayant une prédisposition à voyager entre le monde de l’invisible et le monde terrestre, pour dénouer des situations et libérer des énergies cristallisées de conflit.
Et c’est avec elle que je vais plus que jamais comprendre que la question du quoi et du comment ne se pose pas. La vraie question est pourquoi.
Pourquoi elle, pourquoi moi, pourquoi maintenant. Je sens qu’elle voit juste, qu’elle aussi va m’aider à passer un cap.
Et quel cap…
Sans jamais avoir prononcé le mot « chamane » dans ma communication avant janvier 2019, deux ans avant elle me sollicite pour ce que je ne montre pas encore, n’assume pas encore, mais qui finalement constitue le cœur de mon approche : relier les êtres à leur véritable fréquence.
Relier les mondes.
Relier les êtres au monde.
Revenir à l’origine.
Alors, dans ces synchronicités, tel un plan qui se déroule avec des rencontres-clés, des dates importantes, des évènements à ne pas louper, je me retrouve acculée face à quelque chose de bien plus grand que moi, pour lequel mon mental n’aura aucune réponse à m’apporter.
La Californie m’appelle.
La Californie me rappelle.
Nous sommes au printemps 2018. Ma vie que j’ai construite sur un énorme besoin de sécurité se met à tanguer. Tout ce à quoi je tente de me raccrocher me fait glisser.
La seule chose hyper solide en moi, qui me permet de tenir, d’avancer, c’est… mon intuition. Toujours elle. Je sens et pressens tout avec une précision qui devient de plus en plus chirurgicale.
Elle me dit juste :
« Va dans cette direction,
tu comprendras pourquoi plus tard ».
Hollywood Hills, Juillet 2018
Mon TEDx commence à prendre une véritable ampleur, là où j’ai dit au monde entier « Faites confiance à votre intuition ». Ne serais-je pas en train d’être testée sur mes propres convictions ? Suis-je réellement capable d’aller au bout de mes mots ? D’y mettre des actes concrets ?
La Californie se rappelle à moi parce que j’y ai passé l’été de mes 15 ans, le voyage le plus marquant de ma vie. La terre de tous mes possibles.
Accueillie par une famille de Mormons, rencontre improbable entre leur monde et le mien, qui à priori n’avaient rien à voir séparément mais tout à découvrir ensemble, ça a été une école de la vie en accéléré.
Côtoyer ces personnes aussi éloignées de moi qui m’ont accueillie avec tant d’amour m’a appris le non-jugement, la bienveillance, le respect de la différence. La maman de la famille, Kathleen, avait trois jeunes enfants et m’a toujours considérée comme sa quatrième. Ce lien est resté au-delà des années.
À 15 ans, grâce à eux, j’avais déjà découvert Los Angeles, San Diego, San Francisco, le Yosemite National Park, Las Vegas, le Grand Canyon, et surtout ce parfum enivrant de liberté. En faisant du rollerblade à Venice Beach, les cheveux au vent, je découvrais ce que signifiait « être soi ».
Avec le recul, je sais que mon entreprise a pris racine là-bas. 22 ans plus tôt ? J’ai toujours dit que mon entreprise m’avait attendue pendant 29 ans, l’âge auquel je l’ai créée. C’est donc qu’elle était en gestation depuis ma naissance, attendant que j’accepte d’entrer dans « Ma Grande Œuvre ».
En 1996, la Californie m’a transmis des informations essentielles pour construire ma vie et ma voie. Et je comprends alors, au printemps 2018, que pour continuer plus loin, plus grand, c’est là-bas que je dois aller réactiver mes mémoires.
Le message de Séverine me met en branle.
Car je n’ai qu’une envie, avoir une vie tranquille, lever le pied
et me reposer.
Mais je commence aussi à comprendre,
ou plutôt à accepter, que la voie que j’ai choisie,
ou plutôt qui m’a choisie,
c’est du sans répit.
Je ne dois rien à personne,
mais moi je me dois d’être
la plus cohérente possible
avec ce que je ressens
– et non ce que je veux.
La clé qui active tout le reste :
pas d’intuition,
pas d’avancement.
Et stagner m’est tout simplement impossible. Mon corps, mon cœur ne sont pas conçus pour ça. Je ne peux pas stocker l’information qui passe à travers moi, d’où ce besoin viscéral de créer, de partager et de transmettre.
Je choisis donc de partir là-bas seule avec ma fille, qui a 9 ans à ce moment-là. J’ai besoin de reprendre ce temps pour nous deux, pour comprendre ce qu’on est devenues dans cette vie sans son père, avec un beau-père avec qui la question de l’éducation est un conflit quasi-permanent.
Ma vie de couple me tend, me crispe, me rend triste, alors que l’amour est là mais je me rends compte que ce n’est pas suffisant pour réellement construire la vision que je porte au fond de moi.
J’attends trop de l’autre qu’il me rassure.
Et la Californie va m’ouvrir une porte essentielle…
Première photo prise à Venice Beach,
à notre arrivée le 4 juillet 2018.
Nous sommes le 20 juillet 2018.
Je viens de passer 16 jours à Los Angeles, Austin au Texas puis San Diego avec ma fille. Nous avons eu la joie de passer du temps avec la famille qui m’a accueillie il y a 22 ans, de rencontrer la femme qui m’inspire depuis toujours, Garance Doré, de découvrir toutes les facettes d’une Californie aussi chaleureuse que déstabilisante.
Face au vertige de ses paysages, face à des gens qui m’ont connue à 15 ans et qui ne m’ont jamais oubliée, face à des sensations de liberté et de grandeur qui remontent puissamment à la surface, je me prends en pleine figure tout ce qui ne peut plus être gardé au fond de moi.
Ma transformation a bien eu lieu
sur ces terres chères à mon cœur.
Le fait de pouvoir partager ça avec ma fille
marque un point de rupture fondamental.
Je ne sais pas encore lequel.
Mais il est sur le point de se manifester…
Nous nous installons dans l’avion côte à côte, nous bouclons nos ceintures pour nous envoler de Los Angeles vers Paris. Je vis le vol le plus long et le plus angoissant de ma vie. Je l’appréhende depuis des semaines, ce retour.
J’ai peur du crash d’avion. Pourtant je prends souvent l’avion sans y penser. Mais là, ce jour-là, à ce moment-là, cette peur est tétanisante. Mon histoire est parsemée de crashs d’avion, symboliques ou réels.
Les attentats du 11 septembre 2001 m’ont replongée dans des mémoires de fin du monde. Quatre membres de ma famille en Martinique sont décédés dans le crash d’avion d’août 2005.
Je ne regarde pas les infos à la télé, car je n’ai plus de télé, mais le seul sujet qui mobilise toute mon attention, ce sont les crashs d’avion.
J’ai même rédigé un testament un mois avant, que j’ai remis à Florence, mon amie et collaboratrice d’alors, parce que je sens que ce Los Angeles-Paris sera loin d’être anodin.
Si l’avion ne s’écrase pas, je sais, je sens que la vague que je retiens depuis 6 mois va déferler dès que je vais poser le pied à Roissy.
Ce vol d’avion marque la fin d’une illusion de contrôle de mon existence, d’une route toute tracée à l’avance par mon mental. Je pressens que cela va m’amener à changer de vie, de ville, de dimension, et m’emmener à un tout autre niveau d’expansion… et de transmission.
Et c’est finalement ce à quoi je résiste,
ce à quoi nous résistons tous.
L’inconnu. L’imprévu.
La vie qui nous envoie en terres inconnues.
Là où rien n’a été balisé à l’avance.
Photo prise par ma fille face à l’Océan Pacifique.
J’ouvre les bras à tout ce que je ne sais pas…
Dans cette photo, je vois ce qu’une cliente
m’a dit quelques mois plus tôt :
« Je crois que je n’ai plus peur de rien.
À part passer à côté de ma vie.
Merci d’avoir été là,
merci de m’avoir éclairé le chemin.
Montré que l’on peut survivre à tout,
et d’abord à sa propre puissance. »
Avant mon départ en Californie, j’ai voulu aller y rencontrer des chamanes. J’avais besoin d’une reconnaissance extérieure sur mes capacités intérieures. Pourtant, bizarrement, à chaque fois que j’ai voulu aller en ce sens, les portes sont restées fermées.
Je fonctionne beaucoup à cette histoire de portes qui s’ouvrent et se ferment. C’est ainsi que je vois le chemin : à tout instant on te propose de multiples portes, que tu peux choisir d’ouvrir ou fermer, mais que l’on va aussi t’ouvrir ou te fermer.
Je suis très sensible à ça, car j’ai compris que passer en force ne sert strictement à rien. Ça ne veut pas dire ne pas insister, ça veut juste dire tenter d’autres portes, à d’autres moments.
En tout cas, la porte « rencontre avec des chamanes » ne s’est jamais ouverte. Alors, la Californie m’a permis d’accueillir pleinement la chamane en moi, cette partie de moi qui n’osait pas exister pleinement.
De peur qu’on me dise
« Pour qui tu te prends ? »
22 ans auparavant, j’avais terriblement mal vécu mon retour en France, à tel point que j’avais l’impression qu’on m’avait arraché un bras… resté là-bas. Et c’est une fois sur place seulement, que j’ai compris que j’étais venue rapatrier cette partie de moi : une forme d’agilité et de légèreté que je n’arrivais plus à reconnecter.
Une partie de moi
m’attendait donc en Californie.
Cette partie de mon corps,
c’était une partie essentielle de mon âme :
mon sentiment de sécurité intérieure.
Que tout ce que j’attends
de l’extérieur ne remplira jamais
ce qui me manque à l’intérieur.
My own self love.
Ça a l’air simple dit comme ça. Ça ne l’est absolument pas. Car toute ma vie affective a été construite à l’envers de ça. Et la suite de tout ce que vous allez lire dépend de ce moment-là.
De cette prise de conscience-là.
De ce voyage-là.
De cet avion-là.
Où je comprends et intègre, que la seule personne qui va pouvoir nous mettre en sécurité, ma fille et moi, sur tous les plans, du plus matériel au plus immatériel… c’est moi.
Je suis responsable à vie.
Et à mort.
D’elle.
De moi.
De « tout ça ».
Je vais alors devoir arrêter de fuir
ce que je porte en moi depuis toujours…
parce que je suis venue dans cette vie
pour le délivrer.
Santa Monica, Juillet 2018
Après 12h de vol, l’avion se dépose à Roissy.
Il ne s’est donc pas crashé.
Ma vie va continuer.
La vague va déferler.
Mon papa vient nous chercher. Je rentre deux jours plus tard sur Bordeaux. L’impensable devient réalité : je rends ma bague de fiançailles. J’ai beau l’aimer, mon corps me crie que mon chemin avec lui est terminé.
Moi qui me suis accrochée de toutes mes forces à l’idée du mariage, du foyer, de la famille recomposée. Repartir on the road again seule avec ma fille.
Perdre à nouveau l’amour d’un homme.
Ne plus avoir personne sur qui compter.
C’était ma hantise.
Le 1er août 2018, je dépose à l’INPI ce qui va marquer le coup d’envoi de 18 mois de mutation à venir, tous domaines de vie confondus : le nouveau nom de mon entreprise.
Elle s’appelait Le luxe d’être soi.
Elle devient La terre, le ciel & nous.
Rien que de le dire, de l’écrire, c’est une grande respiration qui entre dans mon corps et qui circule à nouveau. Ce nouveau nom de marque, empreinte de mon engagement à transmettre ce en quoi je crois, ne sera officiel qu’en janvier 2019.
Mais ce premier acte me permet d’enclencher toute la suite, de trouver la force et le courage de transformer en simultané ma vie privée et mon entreprise. Puisque tout est désormais intriqué.
Passage du Je au Nous.
De l’individu à l’organisation.
D’une conscience intérieure à une contribution extérieure.
De l’intuition à la Vision.
De la peur à l’Amour.
La terre, le ciel & nous :
ce nouveau nom résonne très fort
parce qu’il m’appelle à embrasser quelque chose
de bien plus grand que mon égo,
mes peurs, ma petite vie confortable.
À ce moment-là, je sens aussi
que le sujet ce n’est plus moi.
Mais ce qui passe à travers moi.
Ce que je traverse et transmute
permet à un plan plus vaste
de se déployer.
Je n’ai pas eu besoin de reconnaissance officielle en tant que chamane. Ces trois évènements successifs, le vol d’avion de Los Angeles vers Paris, ma bague de fiançailles et le changement de nom de mon entreprise, ont suffi à eux seuls à tester ma capacité à mourir et renaître en quasi-simultané.
J’avais déjà vécu des morts intérieures de façon extrêmement éprouvante, qui ont toujours été le terreau de transformations importantes par la suite.
Mais là, pour la première fois en conscience,
j’ai accepté de mourir à moi
pour naître à Moi.
Et la responsabilité qui en découle n’est pas une histoire de réussite, ni de confort, ni de bien-être. C’est d’être ce que j’ai à être, faire ce que j’ai à faire, au moment où c’est nécessaire.
Ma responsabilité concerne l’évolution du monde, et aussi celle de ma fille, et de la femme qu’elle va devenir dans ce monde. Et sa responsabilité à elle sera d’être à sa place, sur sa fréquence, de se sentir vivante, utile, quoiqu’elle embrasse. Sans rien attendre de personne.
Et parce qu’on n’attend plus rien… la vie se charge de tout nous donner, de nous renvoyer en illimité l’amour qu’on s’est donnés.
J’y reviendrai.
Pour l’heure, la Californie m’a permis de « télécharger » la suite de mon plan de vol. Moi qui buguait mentalement pour essayer de comprendre comment aller de l’avant, j’ai rassemblé mon corps, recollé les morceaux éclatés de mon cœur et laissé encore plus de place à mon intuition.
Puisque c’est elle qui sait.
Direction créative & éditoriale : Céline Boura & Christian Lerider
Coordination artistique : Agence Inspir ~ Création digitale : Digitale Artiste
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7 réponses
Vous m’avez bouleversée et… fait apparaître des portes là où je ne voyais encore que des murs épais. J’ai reçu vos mots immédiatement; ils me sont allés droits au cœur. Vous avez ouvert quelque chose en moi 🙏 J’ai hâte que nous soit révélée la suite.
Et simultanément une montée en puissance
Ma place est alors là
Devant moi
Elle n’attend que moi
Elle n’est là que pour moi
C’est ça…
Rester ouvert à ce qui vient
Ne rien chercher à sur jouer
Apprendre à errer dans la construction
Apprendre à s’ouvrir de plus en plus
Être présent
À chaque inspiration
À chaque expiration
Suivre le mouvement
L’accompagner
Mais non le porter
Et là… Tout se fera
J’ai hâte te découvrir la suite …
Oh waouuuu!!!
Merci.
Chère Céline,
Tu nous as prévenu.e.s, pourtant. Nous aurions des orages… Je sens déjà les premières turbulences… J’essaye de tenir mon cœur accroché… mais l’accroche-cœur n’est souvent qu’un leurre, qui nous donne envie de pécher, sans canne et sans filet…
J’ai entendu. J’ai lu. J’ai relu. J’ai revu. Ton TedX, pour la quinzième fois, sans doute… à moins que ce ne soit que la quatorzième. Comment diable se peut-il que j’aie encore la sensation de le découvrir pour la première fois, alors même que j’en connais certains passages par cœur (encore lui !) ?? Et que j’ai eu la chance de te voir t’y préparer, avec autant de détermination, que d’évidence…
Vivement la suite ! En attendant, nos cœurs balancent…
Merci… du fond du… shaker (chez Cœur) ? 😉
Je comprends mieux… j’avais toujours l’impression que tu étais en partance ou en arrivée.
Tu étais en mutation.
2 ans et demi après… je le suis toujours… en mutation. On l’est toujours d’une certaine façon…